Le gouvernement marocain a approuvé 26 projets d'investissement d'une valeur totale de 2,8 milliards de dollars dans ces secteurs

Marruecos impulsa la educación superior, la industria y el turismo

photo_camera PHOTO/FILE - Ryad Mezzour, ministre de l'Industrie du Maroc

Le gouvernement marocain a approuvé 26 projets d'investissement d'une valeur totale de 2,8 milliards de dollars dans divers secteurs. Selon le communiqué du chef de service du gouvernement, ces projets sont répartis en 12 initiatives d'accord et 14 amendements.  

Le ministre marocain de l'Industrie et du Commerce a confirmé que son département est fortement impliqué dans ce projet. Selon Ryad Mezzour, le Maroc va attirer des investissements locaux et étrangers pour atteindre ces objectifs.  

Les projets réalisés par les investisseurs locaux et étrangers devraient générer de nombreux emplois : entre 3 735 emplois directs et 23 182 emplois indirects. 

Dans les emplois à créer, le secteur de l'enseignement supérieur se distingue, car il dépasse le secteur commercial et immobilier. Il s'agit d'un secteur pertinent car il est le principal fournisseur avec quelque 1 560 emplois directs. Le travail lié à l'enseignement est l'un des plus recherchés. 

La Commission nationale des investissements a constaté que la plupart des 26 projets sont concentrés dans l'enseignement supérieur, suivi de l'industrie et du tourisme. 

Toutefois, les projets d'investissement ont représenté 96 % des investissements prévus, soit l'équivalent de quelque 27,7 millions de dirhams marocains.  

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Les affaires et les investissements au Maroc sont ce qui domine l'économie du pays, mettant en évidence les secteurs qui apportent des bénéfices. Le pays d'Afrique du Nord a bénéficié du fait que la stabilité politique a prévalu dans le pays au fil des ans et a commencé à introduire des exonérations fiscales importantes pour attirer les entreprises.  En 2020, il y a eu une croissance, mais, cependant, si nous comparons avec 2022, nous voyons une baisse de 6,3 % qui a été entraînée par les conséquences de COVID.  

En 2022, il y a eu une croissance allant jusqu'à 3,2% et une croissance radicale est attendue en 2023 dans l'économie marocaine avec ses nouveaux investissements.

Le Maroc est dans une très bonne position, et donc beaucoup d'entreprises vont en profiter pour entrer sur ce marché, car les emplois dépendent beaucoup de l'économie et de la compétitivité des entreprises. 

Certaines entreprises marocaines sont très performantes en Afrique, comme le groupe Banque Populaire Marocaine, l'entreprise pharmaceutique Pharma 5 ou les Eaux Minérales d'Oulmes, qui ont obtenu de bons résultats et de très bons investissements, mettant ainsi en évidence le potentiel national.  

Aziz Akhannouch, chef du gouvernement du Royaume du Maroc, a rappelé l'importance des réformes politiques nationales dans la promotion des investissements et la nécessité de les adapter aux profondes mutations que connaît la nation, appliquant ainsi des directives élevées pour que les investissements deviennent le moteur de la société et du développement socio-économique. 

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Les projets promus par le gouvernement marocain apporteront des bénéfices, tels que la réduction du chômage, puisqu'il y aura entre 3 735 emplois directs et 23 182 emplois indirects, ainsi qu'une réduction du chômage des jeunes.

Selon le ministère marocain du Travail et de l'Économie sociale, l'objectif est d'améliorer le taux d'emploi, en tenant compte du fait que le marché du travail au Maroc est caractérisé par l'emploi informel et une faible productivité, qui sont des objectifs à améliorer.  

Les taux ont augmenté parce que l'âge du travail a été relevé de 15 ans et, bien que le taux d'emploi reste inférieur au niveau d'avant la pandémie, il y a eu des augmentations positives tant au niveau national qu'en termes d'emploi des femmes. Ces projets contribueront grandement à lutter contre le fléau du chômage, en particulier pour les femmes, qui sont celles qui souffrent réellement du chômage avec les plus jeunes. 

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